Berlusconi : "C'est la première Italienne condamnée à mort"
Ce mardi, la droite, l'Eglise catholique, le Vatican et tous les adversaires de l'euthanasie accusent la famille d'Eluana, la justice et même le président de la République, qui avait refusé de signer un décret d'urgence destiné à la "sauver", d'avoir tué la jeune femme. "Que le Seigneur l'accueille et pardonne à ceux qui l'ont conduit là", a lancé le "ministre de la Santé" du Vatican, le cardinal Javier Lozano Barragan. Benoît XVI, qui ne s'est pas encore exprimé sur le décès, avait condamné de son côté il y a quelques jours encore l'euthanasie, qualifiée de "solution indigne de l'homme".
Sur le plan politique, Silvio Berlusconi accuse nommément le président de la République, Giorgio Napolitano. "Eluana n'est pas morte de mort naturelle, elle a été tuée. C'est la première Italienne condamnée à mort. Napolitano a fait une grave erreur", affirme le Premier ministre. "Je suis serein car j'ai fait ce qui était juste", ajoute-t-il.
Sur le plan politique, Silvio Berlusconi accuse nommément le président de la République, Giorgio Napolitano. "Eluana n'est pas morte de mort naturelle, elle a été tuée. C'est la première Italienne condamnée à mort. Napolitano a fait une grave erreur", affirme le Premier ministre. "Je suis serein car j'ai fait ce qui était juste", ajoute-t-il.
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