Voir le Monologue final de Veronika (Françoise Lebrun).
Difficile d’écrire autour d’un film vénéré, adulé et vu à maintes reprises avec des émotions exponentielles à chaque projection.
Je veux et ne pourrai par conséquent que faire court et mentionner ici un article très beau, celui d’André Habib : Le son de la mélancolie dans une scène de La maman et la putain:
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