Vassivière – Marisa Merz at CIAP

Images courtesy of Centre international d’art et du paysage

de l’île de Vassivière, Vassivière (France).

From July 15th to September 26th 2010, the Centre international d’art et du paysage de l’île de Vassivière hosts a solo exhibition of Marisa Merz, an unmistakable figure of Arte Povera who has developed an original, solitary work. The artworks on exhibit are characterized by the wise recourse to silence and absence, elements with which Marisa Merz has throughout the years known how to use in a repertoire of forms as intense as they are evanescent.

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Since the seventies, Marisa Merz’s presence has uniquely and continuously convoked minimal apparitions, incomplete figures, fragments of bodies or objects, relics made from soft materials. The shown works are new productions entirely conceived for the Centre international d’art et du paysage de l’île de Vassivière.

source: www.moussemagazine.it

Hypocrisie quand tu nous tiens!

Pablo Picasso et sa famille à la corrida de Arles septembre 1961

La Catalogne interdit les corridas

Pour les non-initiés, cette décision n'a pas grand chose à voir avec la défense des animaux, il s'agit juste d'une nouvelle manifestation du nationalisme catalan qui entend montrer ainsi (après avoir sifflé la victoire espagnole au Mundial) sa différence voire sa défiance vis-à-vis de l'Espagne. Il faut savoir qu'ici, à l'approche des élections régionales de septembre (où les socialistes piégés ont besoin des voix des indépendantistes communistes) et à la suite de l'annulation d'une partie du statut catalan par le tribunal constitutionnel espagnol, une radicalisation s'opère, à la serbe ou à la flamande et, aujourd'hui la corrida (espagnole!) en fait les frais.

Tout aussi bien cela aurait pu être le flamenco ou la sangria…

Un mot d'économie enfin, cette mesure (qui par parenthèse n'interdit pas les spectacles taurins catalans où l'on encercle et mutile des vachettes et des taurillons) va coûter 57,7 euros par catalan sans parler des milliers d'emplois perdus ce qui, en pleine crise économique, doit sûrement être une bonne nouvelle…

Triste époque où l'émotion médiatique triomphe ... Qui connait la tauromachie parmi ses détracteurs ? Pas de véritable réflexion ou de débat sur la place de l'animal dans notre société, sa souffrance, l'horreur des élevages et abattages industrialisés véritable solution finale et massive totalement banalisée...

A lire également: http://www.slate.fr/story/25481/le-ras-le-bol-catalan

Mais où est donc passé le bidet ?

écobilan d'un rouleau de papier toilette (140 feuilles de 12,5cmx9,8cm, 17 g/m2 par épaisseur)
égal: 117 g de bois et 3,5 litre d'eau et 1,17 MJoules d'énergie primaire.

en papier recyclé: moins de bois (mais pas de données précises), 0,7 litre d'eau et 0,6 MJ d'énergie primaire.

bilan CO2, qui doit être non négligeable, compte tenu du transport = ?

La consommation de papier toilette par personne en Europe est de 13 kilos. Ils sont cinq à se partager le gâteau : Georgia Pacific (Lotus et Moltonel), Kimberly-Clark (le Trèfle), Procter and Gamble, Metsa Tissue et SCA Tissue. Le chiffre d’affaires des papiers ménagers est estimé à 8,5 milliards d’euros par an sur le Vieux Continent (1). Problème, dénonce le WWF, «270 000 arbres sont utilisés chaque jour sur la planète pour la production de ces produits ménagers».

(1) Le chiffre d’affaires - stable - du papier hygiénique en France atteint 625 millions d’euros.

j’ai répondu que, certes, mes poésies ne changeront pas le monde

Se ora tu bussassi alla mia porta

e ti togliessi gli occhiali

e io togliessi i miei che sono uguali

e poi tu entrassi dentro la mia bocca

senza temere baci diseguali

e mi dicessi "Amore mio,

ma che è successo?", sarebbe un pezzo

di teatro di successo.

Patrizia Cavalli

tratto da: Le mie poesie non cambieranno il mondo (1974)

A propos de:

Tournée, de Mathieu Amalric

Ce film est une imposture. Et l’unanimité des critiques à son sujet est carrément suspecte.

Hotel Chevalier

Hotel Chevalier is a short film by director Wes Anderson, released in 2007. Starring Jason Schwartzman and Natalie Portman as former lovers who reunite in a Paris hotel room, the 13-minute film acts as a prologue to Anderson's 2007 feature The Darjeeling Limited. It was shot on location in a Parisian hotel by a small crew and self-financed by Anderson, who initially intended it to be a stand-alone work. Its first showing was at the Venice Film Festival première of the feature film on September 2, 2007.

Paris – You don’t need eyes to see

Above - Renaud Jerez, Produire le même: comme négativité, et différence, 2010. Courtesy: Galerie Chez Valentin, Paris.

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“You don’t need eyes to see”, installation view, 2010. Courtesy: Galerie Chez Valentin, Paris.

“You don’t need eyes to see”, installation view, 2010. Courtesy: Galerie Chez Valentin, Paris.

Matthew Smith, installation view, 2010. Courtesy: Galerie Chez Valentin, Paris.

The collective exhibition “You don’t need eyes to see” at Galerie Chez Valentin, Paris, brings together works by four young artists who utilize a primarily analytical approach in their plastic research. Their works celebrates doubt and uncertainty in an anti-spectacular style involving a spare, rational use of matter.

French artist Benoît Maire (left) explores our affective relationship with forms, sounding the depths of the visible by means of a self-reflective art that disturbs the customary language/image equation. The Milanese artist Luca Francesconi (right) also bases his reflection on a dialectic of the view, probing the relationships between man and matter, controlled human action and the more unpredictable action of nature.

Navid Nuur is concerned with dissecting the mechanisms of perception, creating new links between language and object, showing a taste for rudimentary compositions of ambiguous meaning. Renaud Jerez, instead, makes light of platitudes and standardized patterns of perception; his interest lies in bringing into relation with one another disparate objects, that then enter into negotiations on both the spatial and conceptual levels.

The works of the young English artist Matthew Smith often disembodied forms take meaning as far distraction and undifferentiation. The ideas are the objects, and the visible is therefore more resistant to the viewer, sometimes even becoming completely hermetic.

(source: www.moussemagazine.it)